
Еn littérature
Еn littérature
Son travail d’artiste le rapproche au sculpteur : « Moulant sur moy cette figure, il m’a fallu si souvent dresser et composer pour m’extraire… » / II, 18, p.452 on observe l’intersculpturalité p 153

Gian Lorenzo Bernini, David, 1623-1624, Carrara marble, 170 cm, Galleria Borghese, Rome
Le David de Bernini devient intersculptural et interartistique grâce à sa relation avec le texte biblique.
En sculpture
La Vague, un chef-d’œuvre de Camille Claudel fait référence intersculpturale, intermusicale (La mer) et interpicturale (Les Coquelicots, Les rochers de Belle-Ile), interartistique (Du côté de chez Swann) avec l’œuvre de Proust, Monet et Debussy.
La beauté du chef d’œuvre du Bernin consiste en un ensemble harmonieux des arts, de la sculpture au centre de la chapelle Cornaro et de l’architecture dans le cadre de laquelle l’œuvre se situe ainsi que de la peinture du plafond de l’église Église Santa Maria Della Vittoria de Rome. Le bel composto de cet écrin représente une scénographie transcendante, de l’hors du commun ce qui permet à l’œuvre d’illustrer à merveille le sublime par l’interartistique, l’intersculpturalité, l’interthéâtralité et l’interarchitecturalité.

Gian Lorenzo Bernini, Extase de Sainte Thérèse, 1647-52 (chapelle Cornaro, Santa Maria della Vittoria, Rome)