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Interphotographique

Еn photographie

La carte est coupée en deux parties symétriques. À gauche on a la photo de Coisel, à droite la peinture de Badin. Au milieu, sur le champ interpictural – interphotographique, peut-être que l’arbre peint fait transparaître à l’horizon une autre realité, que la conscience prend en photo, c’est pourquoi, il est interphotographique. De son côté, les enfants en face du mur, sont le reflet de la realité photographie, que la conscience prend en image.

The Interartistic Phenomenon through Montaigne’s Essays, Peter Lang, Bern, 2018, p.118

En peinture

La photographie apparaît à son tour dans le tableau, citons Robert Rauschenberg – Tracer (1964).  Au-dessus est reflétée la photographie du tableau dans des tons différents de ceux de l’œuvre, celui de Rubens « La toilette de Venus » de 1613. L’effet interpictural se trouve renforcé par la photographie du tableau intérieur. Donc la relation devient aussi interphotographique. Ainsi la photographie et le tableau sont interchangeables interartistiquement :

peinture / photographie  –  photographie / peinture.

Интерартистичният феномен през « Опити » на Монтен и « Мобиле » на Бютор, « Каталонската градина » на Бютор и Баден…, Пространство & форма, София, 2007, Le phénomène interartistique à travers ” Les Essais ” de Montaigne et ” Mobile ” de Butor, ” Jardin catalan ” de Butor et Badin…, Prostranstvo & forma, Sofia, 2007, p.227

L’arbre d’automne…

Phrase de Michel Butor, peinture de Georges Badin

Photographie d’Eric Coisel